Pour écouter la version audio, c’est par ici:
Afin de nous déculpabiliser un peu (ça fait du bien de prendre du recul!) et en même temps de reprendre notre pouvoir personnel, nous allons envisager ici les facteurs qui déterminent nos réactions actuelles et qui peuvent amener des tensions dans nos vies et donc du Stresssss! le vilain!
Nous ne venons pas de nul part et ce qui a composé notre passé nous compose aujourd’hui et nous déterminera demain!
Sauf si nous devenons assez lucides pour en prendre la mesure et agir au mieux de nos intérêts, c’est-à-dire au mieux de notre santé physique, psychologique, émotionnelle, spirituelle(?).
Rien n’est figé et Rien n’est inéluctable!
En attendant, nous devons composer avec ce que nous sommes et faire nos choix, les plus éclairés possibles, à l’aide une connaissance intelectuelle, intuitive ou sensitive.
Si vous avez bien suivi (j’en vois 2 là-bas qui dorment déjà!) vous et moi, sommes les produits aboutis multifactoriels issus d’un certain hasard (qui en a le nom à défaut de tout savoir), mais pas que.
Vous n’avez rien compris ? Moi-même je n’aurai pas compris si je ne l’avais pas écrite tellement la formule est obscure… mais bon, j’ai aussi le droit de faire l’intelligent, on est là pour parler de choses sérieuses, non ?
Oui et non…
Pour le dire plus simplement, disons qu’une situation donnée impacte différemment chacun de nous en fonction de différents critères qui nous composent et nous sont propres : les facteurs génétiques, biologiques, environnementaux, sociaux et culturels.
Les facteurs d’ordre génétiques :
« Les hommes naissent libres et égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres. » Coluche
Tout d’abord, n’étant pas tous pareils (heureusement que vous n’êtes pas comme moi), n’ayant pas tous eu les mêmes critères génétiques à notre conception (qui vient avant la naissance… nous existons déjà dans le ventre de nos chères mamans, je dis ça, je dis rien !), nous devons faire avec.
Élémentaire mon cher Watson !
Nous sommes les produits de la rencontre entre nos parents, qui eux-mêmes sont les produits de la rencontre des leurs, qui eux-mêmes sont nés d’une rencontre entre un homme et une femme appelés aussi « parents » etcetera, etcetera, etcetera.
Ainsi, chacun hérite en parti des critères physiques et psychologiques de leurs ascendants (notre héritage se transmet dans nos gênes, que ces derniers soient lisibles ou non scientifiquement. On parle pour ces derniers de gênes dits « fantômes »).
Nous pourrons avoir les jolis yeux noisette de maman, la musculature imposante (ou pas) de papa, la douceur (ou pas trop) de maman, la patience de papa (dans tous les cas il en faut pour être parent, n’est ce pas ?).
Pas besoin de nous culpabiliser, ni de nous plaindre de cette situation. Nous sommes qui nous sommes avec la génétique qui est la nôtre et que nous n’avons pas choisi ou parfaitement choisi !
Tout dépend de comment nous concevons les évènements et cela « grâce » ou « à cause » des facteurs extérieurs dans lesquels nous avons évolués jusqu’à présent…
Les facteurs d’ordre biologiques :
Il semblerait que ce critère puisse être pensé comme celui génétique, ce qu’il est en partie bien sûr. Mais il est modulable au présent en fonction de nos comportements…
Nous sommes ce que nous mangeons !
Voilà un adage intéressant dont il faudrait se souvenir car ce que nous mangeons impacte notre corps et notre esprit et, par ricochet, influence et détermine nos tempéraments et actions. Vous ne me croyez pas ? Vous êtes comme la fosse ? Sceptiques ? je comprends vos doutes mais laissez moi un instant le bénéfice du doute.
Ce que nous mangeons concerne bien-sûr notre alimentation physique, celle traitée par notre métabolisme digestif dans un premier temps et circulatoire et lymphatique par la suite. Nous appellerons cette nourriture la nourriture « matérielle ».
Nous parlerons aussi de la nourriture non transformable moléculairement, celle qui viendra nous nourrir d’une manière différente, celle provenant de nos sens et de notre esprit. Nous appellerons cette nourriture la nourriture « sensorielle ».
Enfin, nous envisagerons le cas des ondes électromagnétiques qui s’imposent à nous sans qu’on leur ai demandé leur avis. Cette nourriture sera appelée nourriture « immatérielle ».
On y va ?
La nourriture matérielle:
Notre corps est une véritable usine chimique qui, à l’aide des organes, va transformer, produire et consommer de l’énergie. Évidemment, le but est d’en assurer la survie. Cette énergie provient des aliments que nous ingérons et à l’aide desquels les différents processus du corps par leurs actions combinées, vont pouvoir en tirer les ressources nécessaires au bon fonctionnement de ce dernier.
Il est scientifiquement reconnu que certains composants chimiques organiques favoriseraient une bonne santé.
Citons les principaux qui sont : les antioxydants, les vitamines, les omégas 3, les probiotiques, les polyphénols, les minéraux et les oligo-éléments.
Et puis il y a les autres, les maudis, les pas gentils, les sournois… j’ai cité les perturbateurs endocriniens, les métaux lourds (cadmium, plomb, mercure, arsenic…), les formaldéhyde, les pesticides, mycotoxines, additifs alimentaires (glutamate, aspartame, sulfites, benzoate, nitrites… voir l’excellent livre de madame Corrine Gouger qui s’appelle « les additifs alimentaires ».)
En clair, plus nous mangeons des produits non naturels ou transformés (surtout industriellement) et plus nous prenons le risque de consommer ce type de produits toxiques !
Alors dans le pire choisissons en le meilleur, les aliments de qualité biologique même si de même nous ne pouvons être totalement certifiés sur leur innocuité ou les fruits et les légumes de notre jardin si nous avons la chance d’en avoir un.
Tout ce qui est naturel, n’est pas forcément bon pour notre santé.
Tout ce qui est industriel et transformé est néfaste.
Les produits contenus dans nos aliments peuvent être tellement néfastes que certains sont même considérés comme cancérigènes et d’autres ayant des incidences sur la fertilité, le cerveau (donc le système nerveux si vous avez bien suivi) ou le système hormonal lui-même !
Ceci explique cela, il est bien évident que cela va impacter le confort du corps et nos humeurs.
Une expérience relatée dans « The British Journal of Psychiatry » en 2002 a été menée par Bernard Gesch, chercheur en nutrition et en criminologie à l’université d’Oxford en Angleterre. Les résultats montrent de manière spectaculaire l’impact d’un changement d’alimentation sur le comportement agressif de jeunes prisonniers !
D’autres études plus récentes ont confirmé cela. Je pense à celle entreprise en Australie et qui visait des classes d’enfants en école primaire. Il a été demandé aux enfants et aux parents (c’est quand même eux qui font les courses) de ne pas consommer sodas et autres produits transformés contenant sucre à gogo et additifs alimentaires…
Et bien, les changements de comportement des enfants ont été notables sur les troubles de l’attention et de mémoire, sur l’hyperactivité et l’agressivité ! Et retour à l’attention, au calme, à la concentration, aux émotions plus stables… avec les tous les autres effets positifs en découlant !
D’ailleurs, voyez vous-même. Qu’est ce qui se passe quand nous mangeons du sucre ? Nous avons un moment un regain d’énergie, mais le pic de glycémie passé, notre métabolisme ralentit, c’est la chute de notre vitalité, la dépression… et de plus en plus, notre corps (notre cerveau qui raffole du sucre) en devient dépendant et nous pouvons ressentir le malaise du manque. L’insatisfaction et le manque d’énergie vont bien évidemment avoir des conséquences sur la qualité de nos vies (irritabilité, fatigue, négativité…)
J’imagine plus pour se couvrir juridiquement que par unique soucis de transparence, les lobbys de l’agroalimentaire l’écrivent noir sur blanc sur certains paquets de nourriture dite industrielle. C’est bien une preuve de l’impact de certaines substances sur l’organisme non ? ou je rêve ?
Ce qui est valable pour nous l’est aussi pour nos bambins. A méditer donc quand ces derniers peuvent avoir des réactions qui semblent démesurées mais qui ne sont que la juste conséquence d’une surstimulation notamment provenant de l’alimentation.
A cette alimentation physique s’ajoute une autre plus subtile mais determinante: l’oxygène venant de notre respiration!
Elle est absolument nécessaire à la bonne transformation du glucose venant de la digestion (la respiration va dégrader ce glucose par oxydation!) par les mitochondries. Sans elle, rien de possible… c’est pourquoi il est primordial de veiller à bien s’oxygéner…
La nourriture sensorielle:
Cette nourriture est celle issue de nos 5 sens (l’ouïe, la vue, le toucher, l’égout, l’odorat).
Ce que nous voyons, entendons, sentons, goûtons, touchons ressentons, nous compose . Si c’est un peu, c’est pas si grave. Si c’est beaucoup, par une surexposition, par des habitudes qui nous sont préjudiciables, alors ça devient plus embêtant.
C’est pour cela, qu’il faut être vigilant au quotidien quant aux choix que nous faisons.
Notre quotidien a tendance à créer un environnement de permanentes sollicitations : rythmes de vie effrénés, biorythmes non respectés, environnements de vie inadéquats (lumière permanente et de mauvaise qualités, polluants chimiques dans les meubles, à peintures, produits…) stimulations en tous genres : TV, publicités, téléphone portable, réseaux sociaux… travail à assurer ou école, tâches ménagères quotidiennes, obligations que nous nous infligeons et j’en passe !
Tout cela, ce Monde dans lequel nous vivons, fait parti de nous et nous ne le remettons que rarement en question (sauf urgence et prises de conscience). C’est sûrement à cause de cela que les changements ne se produisent pas : acceptation de notre condition par manque de recul sur les évènements (pas le temps, pas l’envie, pas l’énergie pour agir)… jusqu’au terminus.
Il est simple de remarquer qu’écouter du hard Rock ou de la techno très rythmée va stimuler l’ensemble de notre organisme, le mettre en action, éveiller nos sens. Nous réagirons différemment en écoutant la fameuse sonate au clair de lune de Beethoven. Me trompe-je ? si vous n’en avez pas fait l’expérience, faîtes là. Ressentir physiquement et dans ses émotions que le Monde extérieur peut nous composer et impacter notre qualité de vie est primordial pour ensuite trouver la liberté d’être nous même et faire des choix heureux.
Pensez à du chocolat.
Si je veux…
Trop tard, vous y avez pensé.
Maintenant que vous y êtes, portez votre attention dans la sphère buccale et constatez ce qui s’y passe. Percevez vous des sensations, des modifications, un changement quelqu’il soit ? Des souvenirs viennent ils à votre mémoire ? éprouvez vous par exemple des sensations de plaisir ?
Nous sommes attachés à nos sens et ces derniers nous créent des émotions qui viennent colorer nos vies. Mais ces émotions éprouvées vont aussi nous attacher à des perceptions passées, à des réactions (on réagit à…).
Comprenant cela, nous avons la possibilité d’avoir un impact sur nos conditionnements, sur nos habitudes et sur nos choix en général. Nous le faisons en mettant en lumière les processus qui nous gouvernent.
Alors, au lieu d’une vie libre et légère, nous portons tout le barda de notre passé (qu’il nous soit agréable ou non n’est pas le problème, le poids est le même, toujours de trop pour avancer).
Ainsi, nous stimulons/surstimulons notre système nerveux qui n’est jamais totalement en paix car tout le temps sujet aux sollicitations extérieures ou intérieures à nous même. Le cerveau (qui fait parti du système neveux central je le rappelle), ne fait pas la différence entre ce qu’il voit et ce qu’il imagine/invente. Il est important de s’en rappeler car cela nous ouvre des possibilités pour vivre de la manière dont nous voulons.
La nourriture immatérielle:
Elle est composée de l’énergie tellurique (ondes et courants provenant des forces de la Terre), des ondes électromagnétiques et de l’énergie dite vitale (prâna, Ki ou Qi).
Dans le Yoga, nous considérons que de nos corps émanent des ondes, des vibrations, une aura.
C’est un champ électromagnétique subtil qui est mesurable scientifiquement. Ce champ peut s’étendre jusqu’à 9 mètres autour de nous et par lien de relation avec notre environnement, nous pouvons concevoir que cette portée est même infinie (avec sûrement une influence plus limitée).
Ainsi, dans le Yoga, on parle de 5 enveloppes ou couches (appelés Koshas) qui s’étendent dans l’espace à partir du corps. Ces enveloppes sont de moins en moins grossière à mesure qu’elles s’éloignent du corps physique. Grâce à leur bonne compréhension, grâce à un alignement correct de ces enveloppes, l’individu, retrouve son plein potentiel de vie et, à la mesure de sa pratique, qui il est, au-delà de tout dogme ou toute représentation.
Quand nous pratiquons du yoga, nous agissons sur ces différentes enveloppes : physique (la matière du corps), énergétique (force vitale), mentale (désirs et émotions), intellectuelle (la sagesse) et enfin l’enveloppe de joie (celle là plus proche de la conscience pure).
Nous vivons dans un ensemble complexe et entremêlées de forces dont notre survie dépend, un maillage d’ondes en flux continu, qui nous traversent et nous composent, au moins le temps d’un instant et modifie nos influx nerveux (qui eux-mêmes sont électriques).
Saviez vous que le cerveau est le principal générateur d’électricité du corps ? Il crée lui-même et diffuse les impulsions électriques vers le reste du corps grâce aux neurotransmetteurs. C’est dire son importance majeure ! Car sans ces impulsions électriques, sans ce flux permanent de l’influx nerveux, pas de mouvements et pas de circulation sanguine possible !
Cette exposition aux champs électromagnétiques (wifi, ondes d’antennes relais, ondes de téléphone portable, 4G,5G, linky…) impacte, à n’en pas douter, chacun de nous en fonction de notre réceptivité/sensibilité… nous baignons dedans du matin au soir et du soir au matin. Cela ne s’arrête jamais, c’est de l’exposition en permanence ! On parle de pollution électromagnétique.
Souvent, par impossibilité de déceler le vrai du faux, nous ne pouvons pas avec certitude déterminer une cause précise à nos maux, quels qu’ils soient. Il en va de la même manière avec cette nouvelle forme de pollution. Par habitude, par excès de confiance envers les instances sanitaires, par manque d’informations, par choix ou par manque de choix, nous laissons cette situation perdurer.
Ainsi, vous le savez, il y a des personnes dites « électrosensibles » qui supportent tellement peu ces courants qu’elles auront des symptômes allant de simples rougeurs, troubles de l’attention, de la mémoire et de la concentration, fatigue, des troubles d’ordre digestif, maux de têtes, troubles visuels et auditifs, palpitations cardiaques, nausées et étourdissements à ce que l’on peut imaginer (bien que non prouvé scientifiquement, tout juste existe-t-il des indices concordants) c’est-à-dire maladies plus ou moins importantes, troubles psychosociaux, dépression et la liste est longue…
Oui, c’est peut être curieux dit comme ça mais il est plus qu’envisageable que nous soyons impactés par toutes ces ondes inondant nos corps et nos têtes…
J’en ai moi-même fait la manifeste expérience après le retour de l’un de mes voyages en Inde.
Je n’utilisais pas là-bas de téléphone portable et faisais essentiellement avec Internet dans les coffee shop pour donner et prendre des nouvelles de mes proches.
À mon retour, j’ai du reprendre un abonnement téléphonique sur téléphone portable (c’est quand même plus pratique que les téléphones filaires, surtout dans la rue !). J’appelle ou répond à un appel. Tout d’un coup, j’ai ressenti comme une aspiration au niveau du milieu du front ! et mon énergie s’en est vue rapidement diminuée. C’est comme si elle avait été en quelque sorte « aspirée ».
Idem, peut être en avez-vous fait l’expérience, quand vous rentrez dans des commerces, supermarchés… ne ressentez vous pas une différence d’état d’être ? si je vous demande ça, c’est pas pour rien, vous pensez bien. J’en ai et je fais encore cette expérience quand je m’y trouve et quand je reste attentif à mes sensations.
La prochaine fois que vous allez faire vos courses, essayez de rester attentif à cela…
Alors autant respecter le principe de précaution qui veut que quand nous avons le choix, dans le doute on s’abstient. Ok, on ne va pas mettre de casques en aluminium sur nos têtes, quoique chacun fait comme bon lui semble, mais on peut essayer de limiter l’impact de ces ondes par différents moyens.
Essayons un maximum d’utiliser les kits oreillette pour téléphone portable, de ne pas dormir avec ces derniers (même en mode avion), essayons de limiter le Wi-Fi ou s’il est encore temps pour certains, de refuser le compteur linky, de relier toutes nos prises électriques à la terre (pas que celles de la salle de bain ou dans la cuisine !)
Et puis comme action positive, nous pouvons rechercher le contact avec la nature, nous mettre pieds nus sur le sol (pas sur l’asphalte, sur la terre…), afin qu’à travers nos pieds nous retrouvions le contact avec la terre même. L’idée est la même que celle précitée, nous laissons passer les courants électromagnétiques à travers nos corps jusque dans la terre. Bref, nos pieds redeviennent nos prises de terre… et là, je vous entend « mais comment n’y ai-je pas pensé plus tôt ? ». Oui, nous n’y pensons pas naturellement, déconnectés que nous sommes des réalités de ce monde, snif.
Les facteurs sociaux, environnementaux et culturels:
On ne choisi pas non plus ses parents, sa famille, son environnement social et culturel quand nous venons au monde. Et même si c’était le cas, peut on seulement agir postérieurement et rétroactivement sur le passé ? Et même si nous le pouvions, est-ce que cela serait souhaitable ?
Nous sommes les produits de notre génétique, de nos expériences en tout genre, de nos conditionnements et notre réalité est celle que notre esprit conçoit.
En soi, tout est pour le mieux car il ne peut exister d’autres réalités de vous-même que celle que vous incarnez actuellement. Par contre il peut être possible que notre conception linéaire du temps ne soit pas la façon adéquate de le considérer.
Tout cela relève des théories quantiques et de la métaphysique. Je vous laisse faire vos recherches et découvertes car cela est assez complexe et je ne me sens pas les compétences pour en faire une tartine. En plus, n’est on pas le mieux servi que par soi même ?
Donc, la réalité qui est la nôtre est la conséquence d’un certain hasard (destinée ?) en parti déterminé par l’environnement qui a été l’eau de notre bain jusqu’à présent.
Nos choix, nos goûts et dégoûts, nos jugements, valeurs, morales, peurs, tensions, capacités à gérer le stress, confiance ou manque de confiance en soi, notre façon d’envisager le monde en général et nous même en particulier, tout ce que vous pouvez imaginer encore est le fruit d’une construction depuis notre naissance.
Nous nous pensons libres, mais cela c’est sans envisager les multiples facteurs qui, petit à petit, nous ont formaté, conditionné, moulé.
Et, ce qui ne nous serait pas acceptable aujourd’hui, l’est devenu par l’habitude, par manque de recul sur les évènements qui nous conviennent si bien et qui peuvent nous gâcher la vie…
Ce qui nous stress, mis à part les situations d’urgence, ce sont les évènements passés que nous avons considéré comme ne nous étant pas favorables, que nous avons subits et auxquels nous n’avons pas su faire face. Faute d’en faire une force, nous en avons fait une faiblesse. Et cette faiblesse nous hante encore aujourd’hui. Cela se traduit par un sentiment d’incapacité à gérer tel ou tel domaine de notre vie, ce qui nous occasionne stress et dévalorisation personnelle.
Maintenant que nous avons débusqué les facteurs susceptibles de nous créer inutilement et négativement des tensions, du stress et de l’anxiété en sur stimulant notre système nerveux, il nous est possible de faire des choix éclairés à la lumière de cette conscience nouvelle et d’agir au mieux de nos intérêts.
PS : Et vous ? vous êtes plutôt apaisés habituellement ou du genre « nerveux/faut pas m’chercher » ?
Pour aller plus loin, si vous le souhaitez, vous pouvez aussi consulter l’article « Stressssss Me: les effets du stress sur notre santé ».
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